trois: c'est le début de la pluralité!

avant trois, c'est autre chose, c'est rien, ou un tout seul sans la conscience d'être un, conscience qui vient dès deux, un et un autre, dedans dehors, ici ailleurs, mais à trois c'est l'enfin partage possible, le ni oui ni non, ni noir ni blanc, c'est décider puisque ce n'est plus 50/50, puisqu'un choix devient décisif...



m-numérique

kikoo la miss ;-)


- euh une question tu été bourrée, droguée ou ensommeillé lorsque tu as posté ton spitch ...... lol

Bonjour

Voilà encore mon grain de sel.

J'interprète, mais c'est l'exploration d'une hypothèse.

Nous n'existons que par ce que l'autre existe. Il nous renvoie notre reflet. Donc pas de reflet en dehors de celui physique du miroir.

A deux, nous commençons à exister par l'autre. Peut-être différents mais avec un possible pacte stable.

Mais l'arrivée d'un troisième, qui à la limite peut être conçu par les deux premiers, peut devenir arbitre, l'enjeu, le sujet de déséquilibre. Mais le troisième ne veut pas forcément être cet enjeu, cet arbitre et peut lui-même s'imposer dans le jeu des deux premiers et alors la trilogie devient possible, voir s'imposer.

Moi aussi je me demande s'il ne faut pas que j'arrête le petit blanc du matin !!!

pourquoi un seul?



m-trilogique

Bien vu, bien trouvé,

Mais qui, dans la trilogie osirienne buvait le blanc !!!!!!!!!!





Blanc de Louctik

nb : je ne parierai pas....

Bonjour,

Choisir entre deux n'est pas simple, mais entre trois (interdiction de prendre le lot). Il faut définir le pourquoi objectif, sinon, c'est pas marrant.




et aux suivantes :




Allez, jouez le jeu, au moins pour vous, vous allez voir, pas facile de faire sur des critères écrits et objectifs.

Loustik

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Bonjour,

En repassant en mémoire tous ce que l'art avait à faire avec ce chiffre mythique, les trilogies ( nous en avons assez sur les toiles en ce moments, les trytiques qui remplissent nos égllises et nos musées, il m'est revenu une oeuvre originale, jamis vu du grand public, si ce n'est ceux qui avait de pouvoir déjeuner dans la salle de restaurant de l'Orient Express. Un Tryptique en verre unique car fait express sur commande pour la compagnie et pas par n'importe quel artiste puisqu'il s'agit de René Lalique dont toutes les grandes personnalités de ce monde se sont fait prendre en photo soit devant; soit sur le côté. Dans les mauvaises rumeurs, une copie aurait été offerte à XXX.

Voici, l'oeuvre, excusez du cadrage mais c'est une reprise d'une connaissance.


René LALIQUE (1860/1945) est né dans le petit village d'Ay en Champagne,.
En 1872 il étudie le dessin au collège Turgot à Paris avec Jean-Marie Leguien.



En 1876, après le décès de son père, il entre en tant qu'apprenti chez le
bijoutier-joaillier Louis Aucoc, tout en suivant les cours du soir à l’Ecole
des Arts Décoratifs
En 1878 il étudie pendant 2 ans à Londres au Sydenham College.
En 1880 il commence à travailler comme dessinateur de bijoux à Paris pour les plus grands bijoutiers de l'époque dont Cartier et Boucheron.
En 1885 il reprend l’atelier de Jules Destapes et se consacre à la création de bijoux modernes mariant les métaux et matériaux nouveaux tels que les émaux translucides, les pierres semi-précieuses, l’ivoire, la pâte de verre et les pierres dures.
Il expose en Europe et aux Etats Unis, remporte trophées, médailles, son succès grandissant lui ouvre les portes du monde des Arts, il crée des bijoux pour la scène et notamment pour la célèbre Sarah Bernhardt.
En 1908 René LALIQUE crée sa première bouteille pour parfum et entame des expériences dans les techniques de fabrication du verre.
En 1921 il produit des pièces en cristal dans sa nouvelle usine de Wingen-sur-Moder, en Alsace .
Il travaille sur la décoration intérieur des paquebots de la Transat.
Le 6 septembre 1935 il ouvre la boutique Lalique rue Royale à Paris, c'est en cet endroit que sont exposées aujourd'hui l'ensemble des créations de la marque.

Loustik, amateur du beau à ses heures