Il y a quatre ans, Kaolin a vu une de ses chansons percuter l’air du temps. La maligne rengaine folk s’appelait “Partons Vite”, elle a fait son joli chemin à la radio et sur les lèvres.
Si Kaolin a pris une pause de quatre ans, c’était pour se ressourcer mais aussi pour se rassembler avec (encore) plus de joie.
Avec le sourire en coin, Kaolin dédramatise les affaires de couple. Que “Petite Peste” et sa collection de vestes (sentimentales) précèdent le faussement macho et très rigolo “Tu m’emmerdes” (« t’es pas méchante, tu serais même plutôt agréable/t’as pas non plus de malformations véritables/mais tu m’emmerdes, comment pourrais-je te l’expliquer… ») ne constitue pas une coïncidence…