Sebastiano del Piombo, Portrait d'homme en armure

Au risque de déplaire à nouveau à Buffalo voici un extrait de texte sur l' art et en particulier la peinture que je trouve particulierement "parlant" , car il relève le questionnement de Pascal comme "lieu de reflexion" sur l'art.
Questionnement que l'on s'est parfois posée également.

Extrait d'AIMER VOIR ( Oscar Obalk au sujet de l' homme en armure )
... comment ces lignes blanches peuvent elles figurer à la perfection la dureté du métal tout en évoquant la suavité du beurre ? Car si la réussite de l'effet tient bien sûr à l'illusion métallique du rendu, elle renvoie à une toute autre substance aspectuelle qui, sans contaminer ou amollir le "sentiment" de métal, ajoute une sensation crémeuse qui - dans l'éblouissement de cette bande blanche au flanc de laquelle du beige vient mordre un peu la lumière - n'est autre que le plaisir de peindre et de regarder la peinture.
>> C'est bien évidemment cette seconde illusion, venue s'ajouter à l'illusion première de représentation qui constitue la meilleure réponse à la question de Pascal s'interrogeant naïvement sur l'interêt qu'on peut bien trouver au spectacle de choses dont on n'admire pas l'original...

Pour une vue de l' oeuvre
clic ici: http://universdesarts.fr/photo/piombo_sebastiano_del_portrait_d_homme_en_armure.jpg


Cnior

Trés bien de changer un peu de couleur de fond,
mais celle ci rend plusieurs textes illisibles (ou trés difficilement ).

Merci de remédier !!

Cnior

Tu peux être tranquille et rassurée cnior, le buffalo6 ne fera plus aucun commentaire sur tes textes sans compter que je rappele ne rien avoir contre toi mais juste sur le fait que je préfère la simplicité pour décrire des émotions plutôt qu'un language "artistique", pas forcément à la porté de tous.
De toutes façons, vous n'aurez plus l'occasion de me lire car le buffalo6 n'est pas très bien dans sa tête.
Pour employer le language imagé, je dirais que mon enveloppe charnelle va à peu près bien, compte tenu de mon age, mais que, par contre, mon âme vagabonde et veille à distance respectable (152 km) sur une bonne âme du coté d'un petit village solognot afin que son bonheur quotidien soit le plus intense possible, c'est ce que l'on nomme l'abnégation de soi-même.
La pauvre âme est inconsciente du mal qui me ronge plus surement que le symbole de mon signe astral : Le cancer.
Paix à mon âme et joyeuses fêtes à tous sans oublier mes sincères remerciements pour tous les bons moments passés en votre compagnie.

Buffalo6