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MessageSujet: DEVENEZ SPONSORS PARTICULIERS OU ENTREPRISE DU FILM.......   DEVENEZ SPONSORS PARTICULIERS OU ENTREPRISE DU FILM....... EmptyMer 17 Juin - 22:44

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At Vincent's

Un court métrage français tourné à New-York

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    Film et vidéo  Clips  Animation

A propos

(For English language, please click on "FR" at the top right corner of the page)



At Vincent's est un court métrage (25min) de Anthony Salvatori tourné à New-York et actuellement en post-production.

C’est un projet indépendant mené avec passion par de jeunes professionnels de l'audiovisuel.

Le film, une fois fini, sera programmé dans plusieurs salles de cinéma et sur plusieurs festivals en France, en Europe et en Amérique du Nord.



Membre tranquille de la mafia locale, Vincent est un barbier de Brooklyn, et son shop un forum. Ses clients, autrement dit ses hommes de main, ont toujours une bonne histoire à raconter. Mais comment discerner le vrai du faux ?

Ce film est un film à sketchs, un western moderne, une rencontre entre Coffee and Cigarettes et Brooklyn Boogie à la sauce Sopranos.

Chaque histoire racontée par l’un des personnages est traitée d’une manière particulière. L’une d’entre elles est une séquence animée qui nous plonge dans la Sicile des années 50.

Il s'agit de 2 minutes en dessin 2D. C'est la dernière étape de la fabrication du film. Nous avons commencé à travailler avec un talentueux illustrateur/animateur professionnel et nous cherchons maintenant le financement pour pouvoir le rémunérer et ainsi clôturer la post-production du film.





Bien plus qu’un film, At Vincent’s c’est une aventure hors du commun.

L’idée folle de tourner un court-métrage aux Etats-Unis, à New York, avec un casting américain, en anglais, et de s’autoproduire.

L’idée de faire un film punchy avec quinze personnages, à décors multiples, à techniques de réalisation variées. Loin des monologues en huis-clos qui pullulent dans les festivals de court-métrages.

Un pari de réalisation, un casse-tête de production. Mais une volonté de fer. Un rêve commun. Frank nous montait à la tête :

 If I can make it there,

  I’ll make it anywhere

  It’s up to you,

 New York, New York

Alors l’idée imaginée par Anthony allait prendre forme. Du scénario au casting, des repérages au dépouillement, de la collecte de fonds à la préparation du tournage, l’équipe d’At Vincent’s grossissait ses rangs, réunissant une équipe franco-hispano-italo-américaine gonflée à bloc, composée de jeunes professionnels de l’audiovisuel prêts à jouer le jeu du bénévolat pour construire cette histoire ensemble.

15 acteurs

13 techniciens

De précieux soutiens moraux et financiers des proches restés en France

15 jours de tournage

Des imprévus

Des rires

Des rencontres

Une cuisinière remarquable

Peu de sommeil

Des décors superbes dans un New-York bouillonnant

De l’émotion

Et puis le dernier clap

Le film est dans la boîte, l'adieu difficile aux américains. Avec la promesse de revenir les voir avec le film fini.

Alors le montage s’effectue en France. La composition musicale est enregistrée. Et il ne reste maintenant qu’un dernier coup de crayon à donner pour prolonger l’aventure d’At Vincent’s et la mener jusqu’au bout…

A quoi va servir le financement ?

Si la production et le tournage d’At Vincent’s furent parfois une Illiade, la post-production est devenue une Odyssée : deux ans que nous sommes sur une galère…

En effet, à notre retour en France, nous avons voulu poursuivre la post-production dans une même vision d’indépendance financière, gage d’une liberté de création. Nous avons rencontrés des animateurs et illustrateurs pour développer notre projet. Cependant, nous nous sommes heurtés à une incapacité budgetaire pour pouvoir travailler avec ce type de professionnels : 20 000 euros n’auraient pas suffi (plus de deux fois le budget de notre tournage) ! Il faut savoir que deux minutes d’animation fluide en 2D représentent 2880 dessins !... Dès lors, nous nous sommes tournés vers des écoles pour proposer un partenariat. A chaque fois, les conditions de la collaboration se faisaient au détriment de notre film. Quant aux différentes aides publiques, aucune ne correspondait à notre projet (parce qu'écrit en anglais et tourné aux Etats-Unis).

Ne s’avouant pas vaincus pour autant, nous avons continué nos recherches jusqu'à la rencontre de Rémi Farjaud. Rémi est un jeune illustrateur/animateur qui a beaucoup d’experience. Il a toute de suite compris nos difficultés et nous a proposé des solutions qui nous permettaient de ne pas perdre la vision du réalisateur et d’inclure une animation fidèle au film : fraîche, joueuse et surprenante.

Nous nous adressons désormais à la communauté Ulule et à chacun de ses membres afin d’être soutenus dans cette dernière étape de création. En effet, le financement participatif correspond à l’état d’esprit de notre film construit avec une volonté de partage, d’échange et de rencontre pour un cinéma qui appartient à ceux qui l’aiment. Si nous demandons la somme de 8500 euros, c’est qu’elle représente, en vue des techniques d'animation que nous avons choisies avec Rémi, l’effort d’un travail avec le moins de compromis artistiques, additionné à la commission d'Ulule (8%) et à la TVA (20%).

Depuis le début de notre aventure, nous nous sommes battus pour défendre notre film. Mais rien de ce que nous avons fait ne vaudra ce que vous pouvez faire : nous aider à terminer At Vincent’s.



Rémi a déja commencé un travail, en collaboration avec le réalisateur, sur la recherche des personnages et des principaux décors. En voici quelques exemples :



                   

Pepino                                                                                     Doralice



Pepino et Doralice dans les rues de Céfalù

Rémi nous en dit un peu plus sur la séquence d'animation :

"L'idée de cette séquence animée est d'adopter un autre style narratif et une autre esthétique pour raconter l’histoire de Pepino. C'est un flash-back, alors oui on aurait pu simplement coller un filtre sépia avec un grain de vieille pellicule mais bon, on ne vous fera pas rêver avec ça ! L'animation permet de s'affranchir de plein de contraintes et de donner une vision originale de cette Sicile des années 50. Cela permet aussi de travailler l'image comme on le souhaite, de tordre la réalité, de l'exagérer, pour raconter cette histoire avec le maximum d'impact. Coté style graphique, je m'inspire aussi bien de l'anime japonaise que de la BD et du comics. Si je devais citer quelques influences, je dirais Robert Valley, Mike Mignola, Taniguchi, Otomo, Alberto Mielgo, Ashley Wood , Joji Shinkawa, Sergio Toppi, Hugo Pratt et j'en passe... Pour le style d'animation, on choisira l'efficacité comme savent si bien le faire les japonais : le petit travelling qui va bien avec un mouvement judicieusement choisi pour faire passer tout ce que ressentent les persos, un plan sur une mer calme ou sur un ciel orageux pour donner le ton... Bref, droit au but, pas de fioritures, du style et un maximum d'impact."


A propos du porteur de projet



Paul Mauro (Vincent)

Baruch Santana (Ritchie)

Claudio Brovedani Nuti (Simon)

John Dacunto (Pepino)

Kevin Moccia (Sally)

Steve Garfanti (Pauly)

Vincent Favetta (Tommy)

Michael Jeremiah (Joseph)

Elena Burkova (Connie)

Kwasi Osei (Mike)







Réalisateur et scénariste :  Anthony Salvatori

Anthony a travaillé dans des sociétés de production parisiennes et new-yorkaises en tant que directeur et assistant de production. En tant que réalisateur, il a tourné des clips musicaux, des documentaires et un premier court-métrage : At Vincent's. Aujourd'hui, il vient de terminer avec Laurent l'écriture d'un long métrage soutenu par le CNC.

D'où tu sors ?

De la Méditerranée, quelque part entre Rome, Seville et Oran. Mais je suis né dans une ville loin de la mer, nichée entre deux fleuves : la Saône et le Rhône. Lyon, la ville où l'on a inventé le Cinéma. À Lacanau tout le monde surfe, à Chambéry tout le monde skie, à Lille tout le monde boit. Chez nous, à Lyon, tout le monde filme, alors je suis parti à New York pour faire mon premier court métrage. Y'a moins de concurence...  Plus sérieusement, je suis parti pour finir mes études de cinéma. Être dans une ville cinématographique comme New York pendant un an ne me laissait pas le choix : je devais réaliser là-bas.

Un premier court-métrage ça se vit comment ?

Les gens qui me connaissent savent que je suis un angoissé. Pourtant je me souviens que le matin du premier jour de tournage j'étais serein. D'ailleurs j'en étais le premier surpris. Et puis tu arrives sur le plateau, tu vois les décors, les comédiens. L'espace d'un temps c'est comme si tu te baladais dans ton imagination. Tu regardes tes personnages et tu te dis: " je savais que ce mec là à moustache existait". D'un coup, tout devient possible, maintenant et pour toujours.

Pourquoi tu portes toujours une chemise hawaïenne sur le tournage ?

D'aprés une étude norvégienne le motif hawaien aurait un effet relaxant sur les comédiens et les techniciens de cinéma. Alors je n'ai pas hésité une seule seconde. Puis j'y ai pris goût. Cette chemise est devenue une seconde peau, le symbole de ma personnalité et de ma passion pour la liberté.



Co-scénariste :  Laurent Mercier

Elle vient d'où l'idée du film ?

De l’imagination abondante et parfois étrange d’Anthony. Il voulait tourner un film à New York avec des gangsters italo-américains. Comme lui, et même si mes racines sont plutôt ardéchoises, j’ai toujours rêvé d’être maffioso. Du coup, ça m’a plu. Et puis j’aimais sa vision de faire un court-métrage dynamique, riche, coloré, loin des standards habituels du court-métrage à la française avec un seul décor, un personnage et un plan fixe.

Ca fait quoi un scénariste sur le tournage ?

Sur les films de Carné, Prévert, lui, fumait ses clopes pépères et tchatchait avec les actrices. Mais moi sur At Vincent’s j’étais à la régie ! Eh ouais… Ils avaient besoin de quelqu’un pour épauler Stéphanie alors comme je kiffe le café j’ai foncé. C’était important que chacun mette la main à la pâte et pour un scénariste tenu en général loin des plateaux, c’est plutôt cool la vie d’un tournage.

C'est vrai que le rôle principal vous l'aviez écrit pour Jim Carrey ?

Ben ouais, on voulait lui offrir un rôle différent, déjà qu’il était passé à côté de Tony Soprano, mais il a dit non le con, il trouvait la fin choquante…



Assistant Réalisateur :  Gavin Stoltz

Comment tu t'es retrouvé dans cette histoire ?

Génial ! La veille, il avait beaucoup plu. Alors j'ai suivi le ruisseau. Le ruisseau est devenu rivière. J'ai suivi la rivière. La rivière est devenue fleuve. J'ai suivi le fleuve. Le fleuve s'est jeté dans l'océan... Heureusement je savais nager !

Quel est ton meilleur souvenir du tournage ?

Je garde des très bons souvenirs de cette aventure, mais je dois avouer que le premier soir de tournage, lorsqu'on s'est tous retrouvés pour dérusher et débriefer autour de quelques verres à moitié vides, ce fut un bel instant de joie et d'éternité : on y était !

Alors comme ça, "script-girl" ça se met au masculin ?

Enorme ! Il faut parfois additionner les postes quand on est une petite équipe indépendante. Du coup, j'ai essayé de faire au mieux pour être une script-girl efficace ! En même temps, sage-femme ça se met tout autant au masculin, non ?



Chef Opérateur / Cadreur : Mickaël Rodriguez

Comment At Vincent's est venu à toi et pourquoi l'avoir rejoint ?

Ce sont Anthony et Gavin qui sont venus me chercher. Ils m'ont fait lire le scénario dans un café, face à eux, pour avoir ma réaction à chaud. Heureusement que le scénario m'a emballé sinon je ne sais pas comment je me serais sorti de là ! A vrai dire c'était la première fois que je lisais un scénario de court métrage qui me plaisait autant. C'est ce qui m'a donné envie de faire ce film avec eux. Et puis ça se passait à New York...comment dire non ?

Aimes-tu cette double casquette de cadreur/chef op ?

Oui la double casquette est importante à mes yeux car le cadre et la lumière sont deux choses complémentaires sur un film, qui s'inscrivent dans une seule logique, une même vision. D'ailleurs, il est de plus en plus rare de voir ces métiers exercés par deux personnes différentes. Hormis pour des plans spécifiques (steadycam, grue, 2ème caméra, etc...).

Il paraît que t'aimes la gonflette. C'est pour assurer sur les tournages ou simplement pour les gonzesses ?

Ni l'un ni l'autre, c'est pour ressembler à Sangoku !



Compositeur musical et ingénieur son :  Stephen Poisson

Ça t’évoque quoi At Vincent’s ?

Tout d’abord une belle surprise à la lecture du scenario. Puis une belle invitation à participer à ce qui est très vite devenu un projet. Ensuite, une belle aventure collective. Désormais, de beaux souvenirs et une belle envie de le voir abouti, sur écran.

Pour un compositeur, la prise son sur un tournage ça donne quoi ?

Ça permet de constater que tout n’est pas musique ici-bas. Je suis fâché à vie avec Mister Softy et la musique de son camion à glaces. Et si pour tout le monde, NYC est la ville qui ne dort jamais, je peux affirmer qu’elle est aussi celle qui ne se tait jamais.

La prise de son sur un tournage à New-York au mois de juillet, quand tout le monde est là, que les voitures et les camions sont des millions et que toutes les climatisations de la ville tournent ensemble… ça fait vieillir...

Si At Vincent's était une note, ça serait laquelle ?

Si bémol… Si vous voulez savoir pourquoi, faudra attendre la BO !



Régisseuse Générale :  Stéphanie Zoccola

La régie, c'est une passion ?

La régie, mec, c'est un sacerdoce. Tu rentres en régie comme en religion. D'ailleurs, il y a quelque chose qui ressemble à l'amour universel et au don de soi dans la régie. Je m'explique : tu nourris, tu loges, tu blanchis ton prochain. Tu es encore debout quand il se couche, tu l'es déjà quand il se lève. Tu souris quand il gueule parce que t'a pas assez sucré ses fraises, tu souris quand il te fait traverser la moitié de la ville pour récupérer le Kleenex utilisé la veille dans la 133eme prise de la scène 7, parce que tu comprends, sans ce Kleenex on est pas raccord, coco ! Tu tends la joue quand t'aurais plutôt des tensions dans le majeur. C'est, ça la régie, mec. Tu sers l'art, c'est pas rien. Même si ton registre à toi c'est la serpillère et l'eau de vaisselle.

T'as pas un petit secret sur les coulisses du tournage ?

Si, je sais que le co-scénariste se levait avant tout le monde pour réécrire les scènes à poil, sur le rooftop, au petit matin (j'ai des photos). On dit que l'assistant réal n'a pas enlevé ses tongues de tout le tournage, y'en a même qui racontent qu'il dormait avec (j'ai des attestations). Le réal aurait avoué, sous l’emprise de la Blue Moon, que tout ce projet n’avait pour but que de lui permettre d’apparaître sur un écran en chemise hawaïenne, comme Elvis (j’ai l’enregistrement des aveux).

C'est vrai que t'avais demandé une Ford Mustang pour la régie ?

Ouais, mais on a dû mal se comprendre, parce qu'au lieu d'avoir une Ford sauvage comme un cheval libre, on a eu un combi Ford qui puait le chacal crevé.



Illustrateur/animateur :  Rémi Farjaud

Rémi Farjaud c'est qui, c'est quoi ?

Un dessinateur touche à tout, après avoir travaillé chez Ubisoft en tant que character designer, je suis aujourd’hui illustrateur au sein d’un collectif de créatifs à Annecy. En parallèle, je bosse sur un projet de jeu vidéo indépendant. Et je fais un peu de musique quand j’ai le temps.
Sinon je mesure 2m et je fais 110 kilos, j’ai gagné 3 fois les championnats du monde d’haltérophilie, je cours le 100m en moins de 8 secondes et je fais des lasagnes végétariennes plutôt pas mal.

Qu'est-ce qui t'a plu dans l'aventure At Vincent's ?

C’est tout ce que j’aime ! Cet univers de mafieux et de petites frappes, le côté décalé. Je suis un grand fan de Snatch ou Arnaques, Crimes et Botanique, mais aussi des grands classiques comme Le Parrain ou Les Affranchis. L’équipe est passionnée et a vraiment à cœur de faire un super film. Evidemment, le fait d’inclure une séquence en animation m’a beaucoup plu, on a peu d’occasion de faire de l’anim destinée à un public adulte.

Quelles vont être les étapes de travail pour la partie animation du film ?

Premièrement, on doit valider un storyboard qui va être une version rough de toute la séquence avec le son.
Ensuite, je vais dessiner chaque plan de manière plus aboutie en isolant les différents persos, les plans du décor et les éléments qui seront animés.
On passe après à l’étape animation où on va faire bouger les choses, décomposer les mouvements des personnages et donner vie à tout ça.
Ensuite une petite passe de post-prod pour unifier le tout et donner l’ambiance voulue.
15 minutes au four et c’est prêt !
On ne dirait pas comme ça, mais c’est beaucoup de boulot...

Un petit crayon rencontre une grosse gomme... elle finit comment déjà la blague ?

Il lui dit en éternuant : "Gommant ça va ?" La gomme lui répond : "Moi bien ! Mais toi t'as pas bonne mine."
On fait ce qu'on peut...






Steady-Camer :  Danny Dwyer et Assistant Son :  Ben Hozie

Maquilleuse :  Christina Gordillo

Assistante Caméra :  Lucie Carrer

Chef électro :  Achille Charalabidis



La Grocery :

Lors du tournage d'At Vincent's à New York, Anthony, Gavin et Laurent s'étaient promis de monter un jour leur société de production. Après trois années de travail en freelance, c'est chose faite : La Grocery est née en janvier 2015.

Consciente de la valeur d'At Vincent's qu'elle ne cesse de porter depuis le début de sa récente activité, La Grocery désire se lancer par la promotion de ce premier film. Ainsi, La Grocery se chargera de la distribution du film dans le maximum de salles et festivals en France comme à l'étranger, ainsi que de la campagne de promotion (publicité, affiche, déplacement, projection, etc...).

Pour plus d'information, http://www.lagrocery.fr
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