les petits écoliers du hohwald

quand vous serez bien vieux, plus tard,à la retraite,
vous penserez aux petits écoliers hohwaldois!!
vous entendrez leurs cris de joie, leurs chansonnettes,
vous reverrez leurs regards claires, leurs frais minois,

De bon matin,ils arrivent de tous les endroits
habités,de leurs long village écartelé:
Salut Léo, bonjour mathilde, hello Emma!
Antoine savoure une sucrerie chocolatée.

Vifs comme des écureuils,agilent comme des chevreuils,
ils courent, zigzaguent autour des arbres de la cour,
puis se rassembblent dans leurs classe, et sur une feuille,
dessinent,découpent,collent,décrivent la nature
qu'ils savent observer, respecter avec amour!
ils devinent qu'elle déterminera leurs futur!

auteur:Annie Vilmont - le hohwald

coucou Edith!!

c'est très jolie

bisous

Merci E_dith, d’avoir éveillé ces souvenirs mémorables et lointains


Je me souviens tout petit de ma blouse grise et mon cartable à la main
J’arpentais avec entrain ce petit chemin bordé de vignes au bon raisin
Radieux de retrouver Robert, Julien, Nicole, Alain et tous mes copains
Des billes dans les poches et jacassant sans peur des lendemains
Et notre noble instituteur heureux de nous revoir tous les matins
Tapant dans ses mains pour nous mettre en rang, nous petits lapins
Assis deux par deux, ses cours nous traçaient l’histoire et ses parcours
La science, la géographie et la poésie sous tous ses contours
Nous chantions aussi avec nos petits souffles d'amour et de vie
Il nous punissait parfois « tu m’écriras cent fois, j’apprends ce qui est dit »
Sans méchanceté, il répétait, votre éducation pour demain est ici
Son sourire et son art, son savoir et ses histoires traçaient nos destinées
Je n’oublierai jamais sa blouse grise bien repassée et ses souliers cirés
Ses cheveux bien peignés, son regard illuminé et toute sa grande bonté
C’était un homme que jamais je ne pourrais oublier



Merci, merci monsieur l’instituteur de nous avoir donné de bon cœur
Cette immense chaleur et ce trésor qui ont tracé notre chemin et accompli notre destin

Merci Hugues Auffrey pour y avoir pensé «music : « Adieu Monsieur le professeur, je ne vous oublierai jamais »

Dans ce monde tumultueux , de tristesse d'avoir perdus leurs enfants, les larmes coulent sur leurs visages, ils enfouient leurs chagrins car ils savent que leurs fils ont fait leur devoirs d'hommes.

Si jeunes, pleins de projets d'avenirs, ils sont plus là, est il possible de trouver la paix interrieure, de sourire, de chanter, de dormir. Alors que cela ne devrait pas être, partir si loin pour rien.

Que de désespoir dans les coeurs meurtris. Il ne reste que les souvenirs de tendresse et d'amour.

fralgital,ton récit a reveiller en moi , des souvenirs d'enfance , a que oui , nos instits etait parfois durent (mais juste) ils nous enseigner des choses de valeur que l'on ne retrouve ,helas, plus dans nos ecoles... à present ses business business ,et rare sonts les profs amoureux de leurs metiers .
surtout fallait pas rentrer en disant.(la maitresse ma donnée une punition) rolala la punition etait plus dure a la maison aller assez rêver a plus